Prïus, tu pues !

Synthèse élaborée à partir du site http://www.cnwmr.com/ concernant la " solution Prïus" comme modèle écologique.

...

La blanche collombe Prïus en prend un sacré coup.



En cause le nickel des batteries extrait à Sudbury en Ontario.

1000T/an sortent du sol, puis bateau direction le pays de Galles pour le raffinage puis la chine pour transformation puis Japon pour assemblage.

Si la voiture est vendue au states (le plus probable), c'a nous fait un tour du monde.



Suit une description noire d'un site de fonderie à Sudbury au Canada:

paysages lunaires, pluies accides, montrant un coût environemental élevé de la production de ces batteries.

Un "Dust to Dust" étude de CNW Marketing Research de Bandon, Oregon, montre que l'ensemble des éco-coûts de l'auto hybride en ferait un mauvais élève.

Pour arriver à ce résultat, l'étude prend en compte l'énergie nécessaire pour planifier,
construire, vendre, conduire et disposer d'un véhicule de la planche à dessin au recyclage après utilisation.
Pour mettre les données en termes compréhensibles pour les consommateurs, CNW traduit l'impact produit en coût de l'énergie par mille conduit.
De ce point de vue, la Prius est mauvaise.
La Prius a enregistré une énergie coût moyen de $ 3,25 par mile axée sur ses prévisions
durée de vie de 100.000 km. Ironie du sort, même un Hummer, (H1, je crois) qui est la bête noir des mouvements verts, fait beaucoup mieux, avec un coût énergétique moyen de $ 1.95 .
De plus de son espérance de vie de 300.000 km, selon l'étude.

En aparté, j'ai quand même un peu l'impression qu'il y a un peu de mauvaise foi et de nationalisme US la dessous.

Reste que l'intéret de l'étude est dans la prise en compte écologique globale.



ps: je spique pas end gliche , j'ai pas passé tous leurs pdf au traducteur.
il y a certainement des bonnes choses à y trouver.
A vous, amis anglophiles

Concernant Sudbury au Canada:

Le rapport d’Environmental Defence présente un certain nombre de résultats graves :

1) La contamination au plomb est au dessus des
niveaux de sécurité dans le Grand Sudbury et les enfants pourraient
être affectés à ces niveaux
2) Les niveaux de nickel dans l’air sont plus élevés que l’exposition recommandée dans trois communautés
3) Il y a des inquiétudes concernant
l’inhalation d’arsenic ainsi que l’ingestion de types spécifiques
d’arsenic qui pourraient mettre les résidents de Sudbury dans une
situation à risque
4) Des niveaux élevés de plomb, d’arsenic et de
nickel dans la nourriture cultivée à Sudbury représentent une
inquiétude pour ceux qui la consomme
5) L’évaluation prends pour acquis qu’il est
acceptable d’exposer les travailleurs à un niveau de risque plus élevé
étant donné qu’elle exclut les risques accrus pour ces travailleurs.
Le Comité était représenté à la conférence de
presse d’aujourd’hui par Rick Grylls, président de la section locale
598 des TCA, John Fera, président de la section locale 6500 du Syndicat
des Métallos, Monique Beaudoin, Promotrice de la santé du Centre de
santé communautaire de Sudbury, et Brennain Lloyd, Coordonnatrice de
Northwatch.
‘Nous voulons que le gouvernement assure que ce
sera le public qui décide quels sont les niveaux de risque acceptables,
ce qui doit être mis en œuvre pour nettoyer les propriétés affectées,
et ce qui doit être fait pour traiter ceux dont la santé est à risque’,
a dit John Fera. ‘A ce jours, le processus a été dominé par les
compagnies qui sont responsables de ce dégât.’
......

Ou quand l'écologie est victime de l'écologie
Je commence à comprendre pourquoi ils sont si souvent agressifs !